SwingJO

[Leilo]

Bonjour,
Le Jazz est au départ est une musique de danse, les noirs la jouaient dans les clubs ou les personnes venaient pour danser et apprécié les groupes qui si produisaient.

Depuis c'est devenue plus intellectuel ou les musiciens enrichissent continuellement en dissonances.

Aujourd'hui un grand nombre de musiciens de la grande musique classique vont vers le jazz et si trouvent très à l'aise dans cette discipline.

On en perd parfois l'origine.

Leilo
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Dans le Pire choisissons le moins Pire c'est valable pour cette époque et dans tout !!!

New Site: http://leilo-viscaino.blogspot.com


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[jc-erard]

Salut les Pralos,
Je ne sais si tu as déjà essayé de jouer quelques pièces de Richard.....
perso j'ai tenté le coup un matin de bonne heure, après quelques mousses en Alsace, et je peux te dire que j'aime bien. Seul petit souci, le boulanger suit de près.....
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[amati]

Salut Jc et Boris,

Ce serait-y pas une sombre histoire de pains


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Je suis super fatigué.
C'est comme être fatigué mais avec une cape.

[Max MARCILLY]

Salut à tous,

Sans vouloir entrer dans une polémique, (d'ailleurs ces derniers temps j'ai hélas un peu l'impression que le ton des discutions a tendance à monter sans que cela soit toujours justifié), je trouve cette phrase de Boris un peu injuste pour les deux musiciens concernés.

***Citation de Boris :
"je reviens sur Galliano qui soyons honnêtes n'a pas je me répéte "inventé" grand chose par rapport à Azzola.Il suffit de comparer quelques partitions de l'un et de l'autre."

Franchement je trouve que ces deux musiciens ont chacun une personnalité tout à fait affirmée et dire que l'un n'a rien apporté par rapport à l'autre signifierait que finalement tout comptes faits, ils joueraient la même musique. Hors ce n'est pas du tout le cas.

Comparer les partitions de deux musiciens de jazz, ou de swing, ou de musette, ce n'est pas comme comparer une partition de Bach avec une de Heindel pour noter les différences dans les procédés d'écriture. N'oublie pas que dans les musiques que nous jouons, les partitions sont un peu comme des canevas et que c'est d'ailleurs pour cette raison que certains profs de jazz, dont je suis, encouragent leurs élèves à faire des relevés. Dans les musiques que nous jouons, tout n'est pas noté sur le papier, loin de là, et c'est bien pour cela que je prétend que la maîtrise du solfège n'est pas forcément supérieur au travail de l'oreille et de la mémorisation. Il faut aussi comparer la manière de jouer, la façon dont les arrangements sont faits, par exemple dans les valses de Galliano il y a une manière assez novatrice de traiter la rythmique. Et puis comme nous parlons de musiciens de jazz, il faut aussi tenir compte du type de phrasé utilisé, du son et puis bien sûr, du langage employé dans l'improvisation.

Personnellement je trouve que Marcel Azzola a apporté quelque chose de très novateur dans la conception de notre instrument dans un enregistrement qui s'intitule "trois temps pour bien faire". D'ailleurs ce disque est tellement inédit dans l'histoire de l'accordéon jazz, que vingt ans après il n'y a encore pas eu un seul musicien pour creuser dans cette direction.

Pour Richard Galliano, tu citais toi même ses deux derniers enregistrements. Tu es sûr, rien de neuf là dedans ? Bah alors c'est ben la peine que ducroc y se décarcasse !

à cette liste j'ajouterais bien quelques autres enregistrements qui ont ouvert de nouvelles voies, mais je me limiterais à un seul :

Le concert en duo avec Run Carter paru dans les années 90. Je t'assure qu'à l'époque quand j'ai entendu ce CD cela m'a paru être un OVNI. à l'époque personne n'avais jamais fait ça. On a tendance à l'oublié aujourd'hui par ce qu'on entend ici et là quelques accordéonistes qui l'imitent, mais Galliano a vachement apporté à notre instrument.

Et encore une des grande qualité de cet accordéoniste, quinze ans plus tard, après avoir enregistrer une tonne de disques, il m'étonne toujours. Si tu veux, il y a des albums que je n'aime pas du tout, d'autres que j'adore, mais presque à chaque fois je suis surpris. Surpris certes par ces nouvelles idées, mais aussi surpris par sa manière de jouer qui évolue sans cesse.

Et puis enfin il ne faut pas limité le début de sa carière à la seule invention du newmusette. Il y a eu d'autres expériences parfois un peu plus proche du jazz fusion comme le CD avec Jean Marc Jaffé, (que je ne retrouve plus dans ma discothèque), ou du jazz plus classique comme son enregistrement avec le guitariste Américain Jimy Gourley.


Enfin pour le rôle du boulanger, JC voulait juste dire que c'est pas toujours de la tarte à jouer et que c'est parfois difficile d'éviter les pains. Hey JC, on croirait que tu n'as jamais essayé de jouer la valse à SwinJo ! Mouarfff !!!

Amicalement MAX
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! Stage accordéon et jazz manouche - 26 et 27 Septembre 2010 !

Les Misters de Paris, quartet de swing manouche avec accordéon

[jc-erard]