SwingJO

[Pouilly49]

Bonjour,

Mon premier message sur le forum de ce magnifique site. J'y vais donc un peu au pif.
Tout d'abord j'ai bien noté l'info relative au dernier bouquin de Claude Dubois que je vais essayer me procurer sans tarder. Ensuite j'ai une interrogation à soumettre. Dans le livret d'accompagnement du CD de Tony Murena Valse et swing éditions Silex, madame Murena nous dit que son mari aurait voulu être chef d'orchestre et qu'une de ses fiertés était l'enregistrement des valses de Vienne avec le grand orchestre de l'Opéra.
Savez-vous s'il en existe une édition ?
Merci à tous ceux qui pourrait me tuyauter sur le sujet.
Bonne journée

[gilles]

bonjour Poully
personnellement ..je ne peut pas répondre à ta question

mais je te souhaite la bienvenue sur Swingjo
Pouilly .....Avec un nom comme ça....je prendrais bien un morceau de fromage
si tu viens un jour au Swingjotonniques ...j'espere que tu viendras avec une bouteille de ce nom ( et je ne suis surement pas le seul à le penser .....hein )même si je vois que tu du 75
Amicalement
Gilles
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🤘

[jc-erard]

Salut Pouilly et bienvenue dans notre rade.
D'accord avec mon Gilou, les SwingJOtoniques seront aussi une grande découverte pour toi,....en espérant que tu sois des nôtres.
Salutaswing
jc
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[Pouilly49]

Sur le zinc des bistrots parisiens le vin de Pouilly sur Loire se fait rare.
Fut un temps...
J'observe que votre intérêt pour les flacons non frelatés semble au moins égal à celui porté au noble instrument à bretelles.
Je suppose que les SwingJOtoniques n'ont rien à voir avec quelques tonics gazéifiés de bas étage.
Amicalement

[jc-erard]

Salut Pouilly,
Effectivement, les tonic de bas étages n'ont que peu de place. Les efforts sont concentrés sur les breuvages dont il est question, mais aussi quelques boissons blondes et "houblonesques" particulièrement appréciées, accompagnant aussi a merveille une bonne choucroute.
Reste que les nobles instruments font toujours aussi merveille, surtout quand ils sont mêlés a des jambons particulièrement bien aiguisés. Et il y en a
Réserve la dat et le cageot, on t'attend.
Salutaswing
jc
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[charlan]

Pouilly !
Raynald, il dit n'importe quoi...
Il croit que je sais tout. Ben non cette histoire de grand orchestre m'est inconnue.
Je sais, comme tout le monde, que Glenn Miller avait engagé Tony Muréna (ou voulait) et que ça a foiré lorsque son avion est tombé, en 1944.
Voilà...
Bienvenue chez SwingJO, cette bande de dingues !
Ami
Charlan

[tony]

Salut à tous,

La bienvenue chez SwingJO Pouilly49 !

Amitiés swing

tony
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" j'voudrais jouer d'la guitar' comm' Django Reinhardt,
avoir la fortun' d'Onasis,
la gueul' de Sacha Distel et la forc' de Cassius Clay...
Et jouer d'l'accordéon comm' Gus Viseur! "
Jo Privat

[jéjé]

Salut pouilly bienvenue

jéjé
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Il n'y a en art, ni passé, ni futur. L'art qui n'est pas dans le présent ne sera jamais.
http://www.mx3.ch/artist/michto_swing

[jéjé]

Et Bin je ne lsavait pas!!
Glenn Miller
Disparu mystérieusement en Manche en 1944, Glenn Miller est resté dans le Nord une véritable légende. A chaque fois qu'un chalutier d'Etaples, de Boulogne, de Dunkerque ou de Dieppe rapporte dans ses filets un élément d'avion, on croit enfin avoir retrouvé l'épave de l'avion du chef d'orchestre au trombone. Sans vouloir détruire le mythe, il faut savoir que cet espoir est vain: la disparition de Glenn Miller, totalement absurde, exclut cette hypothèse à tout jamais.

Le mythe toujours vivant

Mai 95, à Orchies. Pour fêter avec faste la célébration de l’anniversaire de la fin de la seconde guerre mondiale, la scène de la salle des fêtes ressemble à s’y méprendre aux hangars d’aviation où jouait l’orchestre de Glenn Miller. C’est l’excellent Couleur Swing Big band de Jean-François Dewez (à voir toutes affaires cessantes*), qui, pour l’occasion s’est déguisé en militaire. Le groupe jouera du Glenn Miller, certes ,mais aussi, et surtout du Duke Ellington : les vrais musiciens préfèrent, alors que le public, lui, conserve pour Glenn Miller une très grande nostalgie. Plus de 1100 personnes assisteront à différents concerts lors de cette occasion. Cela fait bien longtemps pourtant que le très officiel "Glenn Miller Orchestra" ne comporte plus un seul membre de la formation originale : il n'empêche qu'à Tourcoing, ou au théâtre Sébastopol, à Lille, ou à Orchies, n'importe quelle formation qui se présente sous la bannière du tromboniste enlunetté fait obligatoirement salle comble. Dans le Nord, plus qu'ailleurs en effet, le souvenir du musicien préféré de Dwight Eisenhower et de Harry Truman, est resté vivace. Depuis le 14 décembre 1944, jour où l'avion qui le transportait s'est abimé dans le Détroit, à chaque fois que l'on repêche dans la Manche les restes d'un aéroplane de la seconde guerre mondiale, c'est à dire le plus souvent le seul bloc moteur, le reste étant fait de bois et de toile, la presse régionale ressort de ses archives le dossier Glenn Miller. A Dunkerque, sur les quais, sont exposés des vestiges de cette époque: on y trouve bien des moteurs de Spifire, de Messerschmitt, de Lancaster... mais point de Pratt et Whitney Wasp... Cinquante ans après, le moteur en étoile qui équipait l'avion de Glenn Miller demeure toujours introuvable, rendant la mort du chef d'orchestre des plus mystérieuses. C'est cette constante qui explique en partie l'aura du personnage: comme pour tous les jeunes artistes disparus brutalement (il avait tout juste quarante ans), le public lui réserve une place à part. Au même titre que Hank Wiliams, Jimi Hendrix, ou Mozart... toutes proportions musicales gardées.


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[Pouilly49]

Merci pour vos messages de bienvenue.
Je continue ma prospection.
Lecture actuellement du Frisson de Paname. Intéressant mais beaucoup de choses étaient déjà présentes dans le chapitre "Jo Privat in memoriam" de "La Bastoche" - collection Tempus Editions Perrin 2011 - du même auteur Claude Dubois.
Bon mais Jo Privat méritait bien un livre à lui tout seul et puis le titre est une invitation à entrer dans la légende.
Bonne journée