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SwingJO Jo Privat, l'accordéon swing et la valse musette
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jc-erard Membre actif

Inscrit le: 17 Jan 2005 Messages: 3163 Localisation: GENEVE
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Posté le: Mar Sep 23, 2008 8:14 pm Sujet du message: Paris, en 1936, du côté de Ménilmontant...... |
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Paris, en 1936, du côté de Ménilmontant.....la source ici
Citation: | Faubourg 36
Sur un air d'accordéon
Emmanuèle Frois (Figaroscope)
24/09/2008 .
Crédits : Galatée Films
Paris, en 1936, du côté de Ménilmontant. Pigoil (Gérard Jugnot), Milou (Clovis Cornillac) et Jacky (Kad Merad), trois ouvriers du spectacle au chômage, décident d'occuper le Chansonia, le music-hall qui les employait. Ils sont bercés par une folle espérance : remonter une revue avec d'autres chômeurs. Dans la France de Léon Blum et du Front populaire, tous les rêves sont possibles, encore faut-il réussir à convaincre Galapiat (Bernard-Pierre Donnadieu), le nouveau propriétaire, un truand, homme de main d'un parti d'extrême droite. Galapiat qui souhaite donner une chance à Douce (Nora Arnezeder), sa jeune protégée, accepte le marché. Après des débuts catastrophiques, le Chansonia revit grâce au talent de la jolie Douce. Dans le tourbillon de toutes ces vies, naîtront des histoires de c½ur, des conflits d'intérêt, des drames liés à la montée des extrêmes. Mais tout se terminera sur un air d'accordéon.
Douce Nora Arnezeder
Christophe Barratier, qui avait découvert Jean-Baptiste Maunier, le jeune Morhange des Choristes, révèle un nouveau talent, Nora Arnezeder. Elle est la lumineuse Douce, mélange confus de naïveté et d'ambition, qui fait chavirer les c½urs du « méchant » Galapiat et de Milou, le machino. Nora Arnezeder était âgée de 18 ans lorsqu'elle a tourné Faubourg 36 . Elle a étudié le chant à l'Académie internationale de danse, de chant et de théâtre et connaît bien la musique. « J'ai été bercée par le jazz grâce à mon père qui me chantait Summertime quand j'étais petite », confie-t-elle.
Critique
Le succès phénoménal des « Choristes » avec ses 8,7 millions de spectateurs, ne lui a pas fait tourner la tête. Christophe Barratier continue à filmer sur une même partition, celle d'un cinéma populaire qui touche au c½ur. Eh oui, il y a des grands sentiments, du vrai romanesque et un arrière-plan social dans « Faubourg 36 », de la musique et des chansons aussi que l'on se prend à fredonner, composées par Reinhardt Wagner et Frank Thomas. Un voyage dans le temps alimenté à la fois par les espérances du Front populaire et par l'univers du music-hall - de ses coulisses aux scènes de comédies musicales, interprétées dans le style de Busby Berkeley. Avec « Faubourg 36 », Christophe Barratier fait une déclaration d'amour au cinéma, un hommage avoué à « La Belle Équipe » de Duvivier, au « French Cancan » de Jean Renoir, au « Quai des orfèvres » de Clouzot et aux Enfants du paradis de Carné. Ses héros, attachants ou pathétiques, sont incarnés avec justesse par Gérard Jugnot, en père ébranlé par la séparation avec son fils (Maxence Perrin qui était l'adorable Pépino des « Choristes ») ; Kad Merad en imitateur fanfaron aspiré par les idées d'extrême droite ; Clovis Cornillac en machino grande gueule ; Pierre Richard en compositeur farfelu qui n'est pas sorti de sa tannière depuis des lustres. Du spectacle, de l'émotion et pas de fausse note.
Faubourg 36. Film musical de Christophe Barratier. Avec Gérard Jugnot, Kad Merad, Clovis Cornillac, Nora Arnezeder, Maxence Perrin. Durée : 2 heures. |
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Dernière édition par jc-erard le Lun Sep 29, 2008 7:31 am; édité 1 fois |
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amati Membre actif

Inscrit le: 14 Jan 2005 Messages: 2589 Localisation: VILLEQUIER(76)
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Posté le: Mer Sep 24, 2008 10:52 am Sujet du message: Re: Paris, en 1936, du côté de Ménilmontant...... |
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jc-erard a écrit: | Du spectacle, de l'émotion et pas de fausse note.
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Manquerai plus ça
Que ceussent qui vont le voir bientôt nous racontent un peu ichite leur impressions accordéonistiques
merci JC _________________ Je suis super fatigué.
C'est comme être fatigué mais avec une cape. |
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tony Site Admin

Inscrit le: 14 Jan 2005 Messages: 1438 Localisation: sur le causse du Lot (46)
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Posté le: Mer Sep 24, 2008 11:31 am Sujet du message: |
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Salut à tous,
hé les aminches, c'est pas pour faire ma chochote mais y'a un post sur le sujet initié par notre pote l'érudit GRATTON ICI !!!
A l'heure de la répartition des posts dans les rubriques concernées, si même la modération s'emmêle les crayons
JC mon cousin, 2 mousses de pénalité à Merkwiller
la bise,
tony _________________ " j'voudrais jouer d'la guitar' comm' Django Reinhardt,
avoir la fortun' d'Onasis,
la gueul' de Sacha Distel et la forc' de Cassius Clay...
Et jouer d'l'accordéon comm' Gus Viseur! "
Jo Privat |
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jc-erard Membre actif

Inscrit le: 17 Jan 2005 Messages: 3163 Localisation: GENEVE
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Posté le: Mer Sep 24, 2008 3:14 pm Sujet du message: |
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Aie, non, pas la masse,............................................. pardon Chef j'l'a pô vu chuilà........
Allez, j'accepte la pénalité.....
Ouais je sais, bonjour lunettes...........
Merci Gratton pour ton soutien.....  _________________
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Pierrot Membre actif

Inscrit le: 10 Mai 2007 Messages: 384 Localisation: 86 (Vienne)
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Posté le: Ven Sep 26, 2008 2:39 pm Sujet du message: |
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Salut les pralos,
Bon bin ça y est je suis allé voir le film mercredi après-midi le jours de sa sortie.
Je m'attendais comme Gratton à me perdre dans une foule inextricable, et oh surprise : nous ne sommes que 6 dans la salle!
Les conditions parfaite pour apprécier (sans portable qui sonnent, qui vibrent et qui font du bruit dans les enceintes, sans amoureux qui se bécottent devant toi, sans bruits de pop-corn et sac de bonbon froissé derrière moi, sans décapsulage omniprésent de cannette bon d'accord je sort pas assez, je suis aigris, je suis fermé à double tour, tant pis ! )
Bref, en ce qui me concerne j'ai apprécié ! La bande son magnifique avec un film drôle et émouvant (les reproductions du faubourg tel qu'il devait être en 36 sont assez bluffante ). Je vais de ce pas télécharger les partitions.
Moi j'en connais un qui va sans doute être obligé d'acheter plusieurs carnets de commande pour pouvoir faire face !
Du coup la réputation de notre cher dépliant se trouve grandement amélioré. J'en suis heureux car j'entend de moins en moins les gens parler de sa soit-disante "ringardise" .
J'espère que le film aura au moins autant de succès que les Choristes.
Voilà, une drenière phrase : ALLEZ-Y !!
Pierrot _________________ Votre dévoué Pierrot,
Noir Baron en Poictou,
Chevalier de la crainte et respectée Confrérie des Bouilleurs de cru,
Membre du puissant Ôrdre des gratteurs d'anches
etc... |
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amati Membre actif

Inscrit le: 14 Jan 2005 Messages: 2589 Localisation: VILLEQUIER(76)
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Posté le: Ven Sep 26, 2008 3:06 pm Sujet du message: |
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Merci Pierrot
encore 7999994 entrées à faire pour atteindre les 8000000 des choristes  _________________ Je suis super fatigué.
C'est comme être fatigué mais avec une cape. |
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Pierrot Membre actif

Inscrit le: 10 Mai 2007 Messages: 384 Localisation: 86 (Vienne)
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Posté le: Ven Sep 26, 2008 3:32 pm Sujet du message: |
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Citation: | encore 7999994 entrées à faire pour atteindre les 8000000 des choristes Exclamation |
C'est sûr ! je me demandais si je ne m'étais pas trompé de salle au début. C'est étrange avec toute la publicité qu'il y avais..faut que j'en parle à ma pote anthropologue, elle m'expliquera sans doute pourquoi y avait pas un chat. _________________ Votre dévoué Pierrot,
Noir Baron en Poictou,
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Membre du puissant Ôrdre des gratteurs d'anches
etc... |
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amati Membre actif

Inscrit le: 14 Jan 2005 Messages: 2589 Localisation: VILLEQUIER(76)
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Posté le: Ven Sep 26, 2008 3:49 pm Sujet du message: |
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[quote="Pierrot"] Citation: | ..faut que j'en parle à ma pote anthropologue, elle m'expliquera sans doute pourquoi y avait pas un chat. |
Salut Pierrot
si tu la vois demande lui si c'est normal qu'une bande de zicotos fondus de binious jubilent à l'idée de se retrouver en Alsace le we prochain
 _________________ Je suis super fatigué.
C'est comme être fatigué mais avec une cape. |
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Pierrot Membre actif

Inscrit le: 10 Mai 2007 Messages: 384 Localisation: 86 (Vienne)
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Posté le: Ven Sep 26, 2008 3:59 pm Sujet du message: |
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Citation: | si tu la vois demande lui si c'est normal qu'une bande de zicotos fondus de binious jubilent à l'idée de se retrouver en Alsace le we prochain Exclamation |
ça marche ! _________________ Votre dévoué Pierrot,
Noir Baron en Poictou,
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Membre du puissant Ôrdre des gratteurs d'anches
etc... |
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jc-erard Membre actif

Inscrit le: 17 Jan 2005 Messages: 3163 Localisation: GENEVE
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Posté le: Ven Sep 26, 2008 4:34 pm Sujet du message: |
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amati a écrit: | ........ si c'est normal qu'une bande de zicotos fondus de binious jubilent à l'idée de se retrouver en Alsace le we prochain |
 impatience, impatience, quand tu nous tient....... _________________
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stoche Membre actif

Inscrit le: 16 Déc 2005 Messages: 37 Localisation: Paris
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Posté le: Dim Sep 28, 2008 12:55 am Sujet du message: |
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Hello,
Bon, je l'ai vu aussi hier, le "Faubourg 36".... Peu de monde dans la salle, et que des vieux qui, à entendre les quelques réactions au film, semblaient l'avoir bien connu, le Front Pop': c'était très sympa, et puis ça changeait des pop corn et des portables...
Mais le film, bof, bof, bof...
Le décor, je l'ai trouvé très carton-pâte, la lumière très artificielle (la neige est particulièrement ratée), et puis toujours le même plan sur les escaliers à la Doisneau... bref ça sentait un peu trop le studio.
Les personnages, quand même un peu fadasses: Kad Merad est pas drôle, le p'tit gars qui se prend pour Gabin en fait des tonnes, la jeune chanteuse/actrice débarquée de nulle part semble sortir tout droit de la star 'ac; Jugnot est pas mal dans le registre de l'émotion, mais lui aussi en fait beaucoup (faut dire que le scénario tire-larmes ne l'aide pas trop...).
En revanche, il y a Pierre Richard... alors là, c'est la grande classe! Un personnage de musicien blessé et reclus, scotché à sa TSF vraiment intéressant, très poétique, très touchant et admirablement interprété. A lui seul, il fait décoller le film. Quel acteur... Quel dommage qu'on le voit si peu...
Le scénario... bon, c'est plein de bons sentiments (c'est plaisant, les bons sentiments...). Mais là c'est tellement simpliste... et manichéen (les fascites contre les cocos, les méchants capitalistes voyou et assassins contre les gentils grévistes des faubourgs, les spectacles à paillettes des beaux quartiers Vs les chansonniers de quartier et l'accordéon, etc...). Le Front Populaire méritait tout de même mieux ça... Le réalisateur, franchement, il a quand même l'air un peu simplet... même ses méchants, comme Donnadieu qui pourtant avec sa drôle de tête peut facilement incarner génialement les effroyables salauds, et ben même ses méchants ils font pas peur... (et je parle même pas du garde du corps vaguement psychopathe qui doit faire 30 kilos tout mouillé!)
La musique... elle est pas mal, elle passe bien dans le film, on retient vite les refrains: à un moment, Pierre richard fait trois accords au piano, on a tout de suite l'air dans la tête... impressionnant! Là encore ça démarre surtout à la fin avec l'intervention tardive de Pierre Richard compositeur, mais bon, c'est une musique très orchestrée, très comédie musicale, vaguement anachronique et bien loin de la valse en mineur où l'accordéon n'a plus aucun rôle à jouer (je la sens bien la comédie musicale embercysée à venir...). Car l'accordéon, paradoxalement, on l'entend très peu (j'avais même osé espérer une guitare manouche... ouhlàlà, j'avais tord). Une ou deux chansons jouées par le gamin du film sur un joli Maugein, il n'y a guère plus... snif... Quel dommage pour un film sur le front populaire. On voit bien une espèce de guinguette à un moment, mais le baloche ressemble plus à une pauvre salle des fêtes de banlieue qu'à un vrai musette... là encore, le décor, mazette.
Bref, j'arrête là, je veux pas dégouter tout le monde. Mais je me suis ennuyé assez ferme. Et surtout, j'attendais sans doute un peu trop de ce film sur le front populaire, époque passionnante mais qui ne sert hélas ici que de toile de fond à un film que j'ai trouvé par ailleurs assez insipide. J'aurais du aller boire un coup avec les vieux du début, j'aurais appris plein de trucs et j'aurais sans doute bien rigolé...
Je ne vous conseillerais donc que trop de revoir plutôt "La belle équipe" de Duvivier, ou "Le jour se lève" de Carné ou "Le crime de Monsieur Lange" de Renoir ou encore n'importe quel film américain de Capra qui mélangeait autrement mieux le social, le politique... et les bons sentiments.
Mais évidemment, ce n'est que mon avis...!  _________________ "Le rythme musical du tambour en mode lavage m'intéresse beaucoup."
Jacques Rémus, créateur de "L'ensemble des machines à laver musicales" |
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amati Membre actif

Inscrit le: 14 Jan 2005 Messages: 2589 Localisation: VILLEQUIER(76)
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Posté le: Dim Sep 28, 2008 8:19 am Sujet du message: |
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Bonjour Stoche,
Merci pour ta critique bien argumentée et constructive.
 _________________ Je suis super fatigué.
C'est comme être fatigué mais avec une cape. |
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Pascal Membre actif

Inscrit le: 13 Fév 2005 Messages: 1281 Localisation: Zoug (CH)
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Posté le: Dim Sep 28, 2008 5:37 pm Sujet du message: |
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Merci et bravo Stoche pour cette critique exhaustive.
Je n'ai pas vu le film mais à mon avis Barratier fait des films pour les vendre (!) pas seulement en France mais aussi à l'étranger. Ceci explique peut-être les clichés qui semblent un peu trop lourds aux français mais dont les étrangers raffolent*.
La balance entre art et business est bien-sûr infiniment dure à régler mais pour une fois que des films français s'exportent éventuellement, ça ne peut que faire du bien à la balance du commerce extérieur française. Même si l'art en prend un coup au passage.
Bon dimanche
*: Vivant à l'étranger, il n'est pas rare que les gens me disent: C'est marrant, tu ne resembles pas à un français typique (!!) Pour eux, le français typique c'est encore une espèce de super Dupont avec son béret, son marcel, ses charentaises et la baguette sous le bras. On en est malheurement toujours là... Je pense que ce n'est pas Tony qui ve me contredire.... _________________
Il est quelquefois préférable de ne pas savoir ce qu'on dit que de dire ce qu'on ne sait pas.
Pierre Dac (1893 - 1975) |
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